Dans la France profonde, il existe un petit village, nommé Brassac, situé dans la montagne, appelée « Monts de Lacaune ». Vous direz rien d’exceptionnel. De plus, il est traversé par la rivière appelée Agout. A nouveau, vous direz rien d’exceptionnel. Comme d’habitude, on trouve des personnes habitant soit sur la rive droite, soit sur la rive gauche. A nouveau, vous direz rien d’exceptionnel. Comme d’habitude, on dit que ceux qui habitaient sur la rive droite guerroyaient avec ceux de la rive gauche, ou vice versa Vous direz, encore, rien d’exceptionnel.
Mais qu’en vous aurez un aperçu de ce qui s’y passe après la lecture de ce dossier concernant la spoliation d’un bien communal, votre avis devrait changer.
Nous compléterons, en mettant en ligne ultérieurement, deux autres dossiers :
- le vrai faux chemin communal
- la vraie fausse voie communale qui permet de devenir propriétaire par usucapion.
Lors de la loi du 2 mars 1982 concernant la décentralisation, il a été dit que l’amateurisme administratif et les groupes de pression locaux étaient un danger pour la démocratie et l’unité de l’État. Ceux-là vont trouver un cas d’école sans précédent,comprenant des irrégularités, des illégalités, où des personnes dépositaires de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public vont soustraire des actes administratifs à des citoyens, mais aussi à la justice Civile. De plus, ces personnes n'ignorent pas que leurs conduites portent préjudice à la commune, mais surtout à plusieurs citoyens. Cette altération frauduleuse de la vérité a pour but de privilégier des intérêts privés au détriment de l'intérêt général.